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29 mai 2006

S.O.S......BIP.......

...Quelques jours que j'attends... quelqu'un va-t'il débloquer mon abonnement coincé à 50 Mo ? Pourtant ma nouvelle souscription a bien été prise en compte !?

J'ai d'autres images à mettre en place.

SVP, merci.

Réactivité... 48 Heures... ?

28 mai 2006

LA SALE BLAGUE...

Vous avez dépassé le quota d'espace disque qui vous est alloué.
Si vous souhaitez libérer de l'espace disque, il vous suffit, via le tableau de bord, de retirer des fichiers. En revanche, si vous souhaitez conserver l'intégralité de vos archives, nous vous proposons de souscrire au Module "Espace disque et bande passante" correspondant à vos besoins.
Rendez-vous dans la rubrique "Votre abonnement" de la section "Compte" pour souscrire à ce module.

...Stoppé en plein élan... Le dernier album en Nouvelle Calédonie est donc incomplet... désolé !

Affaire à suivre...

26 mai 2006

QUELQUES SITES...

Quelques liens sont en place désormais...

Ce sont donc les derniers sites de clients et amis qui semblent satisfaits de notre travail... Je dis "notre" car je ne suis pas seul à mener la barque bien évidemment...

Je réalise les images, les visuels certes... Mais tout cela n'est visible sur le net qu'avec l'aide précieuse d'un autre ami, Emmanuel Girault. Il gère la mise en ligne de mon travail photo/graphique en tenant compte de mes exigences, de mes humeurs, de mes angoisses liées à la Technique  et à la Réussite de notre entreprise.... Il me supporte maintenant depuis près de 6 années !

Nous avons débuté notre collaboration par un projet météo informatisé pour TNtv à Papeete. Par la suite, nous avons photographié autos et motos sur quelques circuits pendant 2 saisons (Vigeant, Le Mans, Magny-Cours...) avant mon départ pour la Mélanésie...

A mon retour, nous avons décidé de nous lancer sur le web pour le meilleur et pour le pire en tentant de proposer une Philosophie de travail qui nous ressemble... La Qualité, la Sobriété, la Convivialité et l'Efficacité... Sans oublier notre Grande Disponibilité !  Ce qu'il manque à beaucoup de gens du monde "internétien" aujourd'hui trop impliqués dans cette folle course vers les dernières technologies. Certains en usent au début, et comme à chaque fois, tout se termine dans la démesure et le N'importe quoi ! Nous souhaitons créer une sorte de réseau de sites colorés et ergonomiques afin d'imposer notre savoir-faire...

Depuis quelques temps, Vincent a rejoint notre équipage dans le but de promouvoir notre produit dans d'autres régions de l'Hexagone... Bienvenue amigo !

19 mai 2006

UNE PETITE PAUSE...

medium_drapeaux.jpgIci, le travail semble s'intensifier. Tant mieux !

Nous allons mettre de côté pour quelques heures notre échantillon photographique...

18 mai 2006

LES VOILES DE PATIENCE

medium_carte_de_presse.4.jpgSans doute le plus éprouvant de tous mes voyages malgré les nombreux préparatifs techniques et logistiques. Affaiblis par les très grosses chaleurs du mois d'août, et contraints par les troubles politiques cette année-là (1996), nous avons traversé l'Egypte (de la méditerranée au lac Nasser) avec Bertrand (co-auteur du projet...), empruntant à peu près tous les moyens de transport existant sur le territoire...

Nous étions heureusement appuyés par le service de presse de la télévision cairote (par medium_el_minieh_charpentier_027.jpgle biais de l'ambassadeur d'Egypte à Paris), qui avait mis à notre service quelques employés des bureaux annexes tout au long de notre itinéraire, lesquels "nous servaient" de guides et d'interprètes. L'armée fût elle-même réquisitionnée à Assiout notamment, où les terroristes semblaient particulièrement "ennervés". Cela devenait très problématique pour le bon déroulement de notre petite expédition Photo/vidéo. Les autorités nous invitèrent donc à réaliser nos images dans les plus brefs délais, escortés par ces gens d'armes eux même appuyés par un véhicule blindé et armé ! Dans ces moments-là, on se pose tout de même quelques questions...

Enfin, les ennuis ne sont pas toujours là où on les attend, et c'est à Assouan que les choses se sont réellement gâtées... Pas de terroriste, pas d'accident, mais un racket en règle par l'un de nos contacts du service de presse local... Chantages et intimidations quant à notre retour sur la capitale prévu dix jours plus tard... ("très facile de se retrouver avec de la drogue dans les bagages...!?")... Des menaces du style : "Allez tout droit en prison, ne passez pas par la Case Départ !"... Nous avons très rapidement compris que notre interlocuteur ne plaisantait pas, qu'il n'en était pas à son coup d'essai...

medium_train_egyptien.jpgBilan de l'opération : plus d'argent, mais libres de repartir avec des billets d'avion trafiqués...  le retour fût très chaud. Arrivés au Caire en catastrophe, après une nuit dans le train, les employés de l'aéroport nous annoncèrent que nos billets avaient été modifiés... Par conséquent ils n'étaient plus valides. Caramba !? Cette fois les ennervés, c'était nous... Après quelques palabres, insultes et gestes inconsidérés, des appels au service de presse de la télévision nationale... nous avons pû embarquer pour un vol de retour totalement inespéré !

Heureusement, nous avions les images que nous souhaitions (grâce à la gentillesse et l'hospitalité de ceux qui nous ont aidé...) afin de réaliser le "12 minutes" sur la Felouque égyptienne...  Ouf !

17 mai 2006

ZANZIBAR EXPERIENCE

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medium_image_note.7.jpgmedium_znz033.4.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zanzibar… îles au nom évocateur, synonyme de voyages , de commerce et d’échanges…

 

Lorsque Pierre me parla de l’archipel pour la première fois, je n’avais aucune idée de l’aventure qui nous y attendait, mais je savais d’ores et déjà que cela prendrait les teintes d’un voyage initiatique...

 

Une sacré expérience... Panne de caméra et aide des gens de la télévision locale (la première chaîne africaine en couleur...si si...), mes premiers essais photographiques, et surtout des rencontres fabuleuses et enrichissantes. Le Voyage et ses aléas dans un coin fabuleux. Une véritable remontée dans le temps !

 

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16 mai 2006

RIEN A FAIRE AVEC LA COULEUR !?

Même en saturant à donf, les lumières sont totalement nazes et ternes... (J'exagère un peu, c'est vrai... mais tout de même ! )

medium_dscn5555.4.jpgDommage et surtout très frustrant, arrivé à ce stade... Vais-je poursuivre...? Telle est ma question...!? D'autant qu'il me reste encore quelques images de Nouvelle Calédonie, la Corse en Noir & Blanc,  "Les Voiles de Patience" reportage co-réalisé en Egypte avec mon pote Bertrand (photovidéographiste aussi...), mon tout premier reportage à Zanzibar avec un autre ami Pierre Javelot, (écrivain voyageur et photographe...) et d'autres sujets comme le périple marocain en 4x4 avec toute la famille pendant près de 2 mois... dont j'ai pû extraire un reportage intitulé Médinas... etc etc...

Soyons patients... tic tac...

L'AVENTURE FAMILIALE SUR L'ILE DES PINS

medium_b8.3.jpgPartir et vivre dans un lieu isolé du reste du monde, tel était notre désir, notre besoin, notre fantasme. Nous avons laissé le Matériel derrière nous, mais pas seulement...

Nos familles, nos amis, nos habitudes, autant d’éléments du quotidien que nous avons dû “stocké” dans nos mémoires durant notre séjour sur ce bout de terre là-bas dans le Pacifique, à quelques brasses au sud est de Nouméa.
Six mois d’une vie simple, parfois rude, et de nombreuses aventures, des rencontres enrichissantes sur des sites fabuleux...

L’Ile des Pins abrite en effet des paysages et des gens peu ou pas “accessibles” lorsque l’on “débarque” avec ses certitudes liées au monde dans lequel on évolue.
Comme sur le reste du globe, nous ne devons pas oublier que l’intégration idéale demande Patience et Humilité !

J’ai donc figé certains moments que j’ai partagé avec mes deux compagnes (Nadège mon amie, et Salomé notre fille), et ceux vécus au gré de mes escapades en solitaire.

Comme beaucoup d’entre nous, je cherche le bonheur maximum. Quelquefois je l’obtiens aussi par l’intermédiaire de mon viseur... En capturant des bouts de vie !

CONTRAINTES DES COULEURS

medium_chile.jpg...Je ne suis pas un spécialiste en colorimétrie... mais je constate que les couleurs de mes clichés sur le blog ne sont pas fidèles aux originaux... un peu décevant... voilà, c'est dit !

Oh Pierre V. m'entends-tu ? Quelles solutions ? Abuser en saturant les couleurs avec mon Toshop CS2 (mon fidèle compagnon auquel je fournis de la RAM...) ?

Un grand merci à Seb (le magicien de la Typo et des Couleurs...), pour ses conseils avisés lors du lancement officiel de mon activité de photo-graphiste... Une sorte de Jedi du visuel... un passionné tout simplement !

15 mai 2006

CARTE COMMERCIALE

medium_CARTECOM_21.jpgUne charmante rencontre avec Manuella qui lance son entreprise de Cuisine à domicile.

Elle m'a confié la réalisation de la carte commerciale dont voici l'un des visuels...

Good luck Manuella ! 

RENCONTRE A RAPA NUI (Ecrit par Sylvain Mazet mon frèrot et co-réalisateur du reportage)

medium_rapa02bis.4.jpgCacho… Nous ne savons même pas son nom de famille… “Celui qui résout les problèmes”, c’est par ces mots que nous avons fait sa connaissance. Cet homme d’une trentaine d’années, vêtu la plupart du temps d’un simple maillot de bain et d’une plume fichée dans ses cheveux coiffés en chignon, sillonne les routes de l’île de Pâques à bord de son 4x4 rouge. Quelques instants plus tôt, il en descendait, accompagné de femme et enfants, les bras chargés de sculptures reproduisant à échelle réduite, le colosse de pierre qui nous faisait face: le moaï KO TE RIKU.

Cacho nous apprend que ce sont ses ancêtres qui ont érigé ce monolithe en l’honneur d’un vénérable défunt de la tribu. Les os de ce dernier et ceux des autres, disparus après lui, étaient placés dans la plate-forme (”ahu”), en pierres sèches, support du moaï. Ainsi, celui-ci orné d’yeux en corail et d’un chignon de roche rouge, embrassait du regard sa descendance, puisque le moaï est la représentation de l’aïeul.

Aujourd’hui, des siècles se sont écoulés, les sculpteurs qui ont “enfanté” ces colosses ne sont plus, et les Rapa Nui ne vivent plus devant l’ahu familial…

Cacho est l’exception. Il a décidé, à l’instar de ses ancêtres, de vivre le plus possible, près de son “Tupuna” comme on dit là-bas , de son aïeul.

medium_image0.jpgIl a pour cela tendu, entre deux rochers, près du site de Tahaï, le plus proche de l’unique ville, une toile, qui sert de “cabane” pour les enfants pendant la journée, et d’abri pour les repas du soir, lorsque le vent et la pluie s’invitent à la fête. Mais les touristes sont plus souvent présents que le mauvais temps.

Cacho aime en effet, s’entourer d’amis et de voyageurs de passage pour partager la joie simple de déguster quelques poissons grillés, sous les étoiles incroyablement lumineuses par ses latitudes...

Pourtant, de rester comme ceci sur le site, il n’en a point le droit. L’île a été classée parc national par l’État chilien. C’est à dire que la taxe dont on doit s’acquitter pour pouvoir visiter les domaines archéologiques de l’île de Pâques, permet à la CONAF (COrporacion NAcional Forestal) de gérer le parc, d’entretenir et de protéger les monuments. Pourtant, l’incendie qui a endommagé, en 1996, quelques moaï du volcan RANO RARAKU (carrière où fut sculptée la plupart des statues) a fait monter au créneau le “Conseil des Anciens”. Composé d’un membre de chaque grande famille de RAPA NUI, il essaie de s’opposer aux politiques menées par l’État chilien et dans ce cas précis, à accuser la CONAF de n’utiliser qu’une partie des fonds collectés dans ce “musée à ciel ouvert”…

Et le problème est là. Conscients des intérêts pour Rapa Nui à être classée parc national et même patrimoine mondial par l’UNESCO, quelques insulaires veulent tout de même retrouver la fonction “première” des moaï. Ne pas les regarder comme les vestiges d’un peuple presque disparu, mais comme le message intemporel de leurs ancêtres…

Aujourd’hui, Cacho est partagé entre deux mondes, deux époques, deux notions : tradition et modernité. Comme il nous l’a expliqué, il veut tracer son propre chemin, il veut vivre comme il l’entend et non comme on voudrait lui imposer. Il rejette donc le christianisme et toutes ses traditions ; à tel point qu’il ne veut pas que sa mère, lorsque celle-ci disparaîtra, soit enterrée dans le cimetière. Ses os devront être placés dans l’ahu à Tahaï, le site retrouvera alors son utilité : lieu de sépulture, lieu de commémoration et donc lieu de vie. “Vivre devant le moaï”, prend alors toute sa signification…

medium_rapa110.4.jpgMais il ne rejette pas tout dans la vie moderne. Au contraire, la ligne aérienne Tahiti-Santiago du Chili via l’île de Pâques amène continuellement des voyageurs, des “nouvelles têtes” sur cette petite île si isolée. Cela lui permet de vivre de sa passion qu’est l’artisanat.

Pendant la journée à Tahaï, il vend et, en quelque sorte dissémine ses petits moaï et autres reproductions à travers le monde (à Tahiti, l’idole aux yeux ouverts aurait la réputation de faire fuir ceux qui se seraient introduits impunément dans la maison placée sous sa protection…), et le soir, il aime faire de chaque repas un moment d’échange, au delà des cultures, au delà des langues. Souvent, la soirée se prolonge et finit tard en discothèque, devant laquelle stationnent plus fréquemment des chevaux que des voitures…


Mais nous étions là avant tout pour réaliser un reportage vidéo et précisément sur le thème de l’héritage culturel et des apports du monde moderne. Nous préparions notre voyage depuis un an : mon frère et moi avions partagé le travail ; à lui, la tâche ingrate de la recherche de financements, en région parisienne et aux alentours de Châtellerault ; et à moi, le plaisir d’étudier l’histoire de l’île de Pâques et de l’Océanie, généralement assez méconnues. Autant, la recherche de sponsors avait été infructueuse et démoralisante, autant la découverte de l’île à travers les récits de grands navigateurs (Cook, La Pérouse, Pierre Loti…) nous encourageait à réunir nos économies pour nous rendre sur l’île la plus isolée au monde, au tragique destin…

medium_rapa249.4.jpgSe sont en effet succédés depuis le XIXème siècle, les “négriers” péruviens qui ont annihilé le savoir ancestral en déportant les initiés vers des mines de guano, les missionnaires catholiques qui ont évangélisés les survivants en détruisant tous les vestiges “païens” (tablettes KOHAU RONGO RONGO, moaï KAVA KAVA…), les éleveurs anglais et leurs 40000 moutons qui ont rasé les villages ancestraux et enfin le Chili prenant possession de l’île, regroupant et parquant les Rapa Nui dans le village d’Hanga Roa et essayant de leur ôter leur langue, le dernier legs de leur culture. Est-ce réellement le dernier ?
Non, la pierre, symbole de l’immuable dans toutes civilisations, a une fois de plus rempli son rôle ; les moaï aux yeux ouverts ont défié les siècles et les hommes, pour atteindre de leurs regards bienveillants le cœur de leurs descendants.

Et Cacho était là, face à nous, au pied du moaï, comme à son habitude. Nous avions convenu d’un rendez-vous : la veille de notre retour en France semble être le seul jour possible pour fixer et condenser, sur bande magnétique, les nombreuses heures de discussion au coin du feu. Malheureusement, le mauvais temps et surtout la mauvaise luminosité ne nous permettent pas de le filmer. Le soleil toujours absent, Cacho nous déclare en rigolant : “C’est le moaï qui ne veut pas !…”

Déçus de ne pouvoir ramener le message de Cacho, de diffuser et faire connaître ses réflexions sur la vie et l’avenir de sa famille et de son peuple, nous nous décidons à lui faire nos adieux et nous le remercions pour la chaleur, l’amabilité et la générosité dont il a fait preuve à chacune de nos rencontres. En guise de salutations, Cacho, lui, nous confie son souhait pour l’an 2000 : la création d’un livre sur Rapa Nui et sa culture ; ce que Cacho désire, c’est que son peuple écrive sa propre histoire, de l’arrivée d’Hotu Matua, jusqu’à nos jours. Ces dernières paroles échangées sonnent comme une invitation à revenir sur ce petit caillou perdu dans le Pacifique et peuplé de géants, ce qui n’est pas pour nous déplaire !…  

  

14 mai 2006

EN CE QUI CONCERNE LES DIAPORAMAS

J'ai souhaité optimiser mes visuels en dépit des contraintes techniques liées à ce support.

Soyez patients, le plus dur est derrière nous...

13 mai 2006

VOTRE AVIS EST IMPORTANT CERTES...

...mais il ne faut pas abuser... soyons clairs dès à présent... si ma trombine (photo d'identité) vous ôte toute envie d'aller visiter ces quelques pages, c'est que vous vous êtes trompés de blog ! 

Mon but essentiel est d'exposer quelques photos de mes voyages, des extraits de certains reportages... Si ma vision photographique vous séduit, vous interpelle, c'est gagné !

Et pour les plus "réticents" aux images hors normes...

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NOTE DE L'AUTEUR

Je vous présente ce blog essentiellement bâti sur l'Image... support visuel qui me servira désormais de complément indispensable au site vitrine www.flyoliv.com (bientôt en ligne...) par son atout majeur : la réactivité !

 

Plaisir des yeux j'espère !



 

Contact pour info ou travail : flyoliv@free.fr

PS. Photos en haute définition disponibles sur demande.