JUSTE AVANT...

Tout s'est déroulé très vite une fois encore. Notre amie Moanaecha nous expliquait que la maman qui n'avait pas une vie facile, souhaitait nous confier sa fillette. Etait-ce de l'humour, ou pas...?

Quoiqu'il en soit, cette puce qui voyait les enfants virevolter autour de nous, s'est approchée timidement... Et lorsque j'ai déclenché, cette petite "bonne femme" est partie se réfugier dans les bras maternels en hurlant. Ma trombine la terrifiait visiblement ;)

LE REGARD...

Les ruelles des villages comme Combani sont pleines de surprises. Ce jeune mahorais qui me voyait déambuler avec la troupe d'enfants devant chez lui - alternant l'oeil collé au viseur et l'appareil en bandoulière - a commencé par me demander si j'étais journaliste, puis il m'a invité à entrer dans la cour, tout en enchaînant diverses postures, me fixant intensément. Une manière de me demander si cela me convenait, si la photo était bonne ainsi.

Après quelques clichés sous divers angles, ce qui m'a le plus marqué fut son regard. J'en ai profité juste avant de prendre congé...

Durant le post-traitement, j'ai retiré la couleur pour faire ressortir son expression, laquelle me semblait diluée dans la masse colorée originelle.

CHAQUE JOUR...

PERE ET FILS...

Matthieu assure le pilotage et Pierre écoute les conseils de son père avant de se lancer dans une partie de pêche.

La relève est assurée ! :-)

 

LE PARC DE JEU...

Régulièrement, les enfants du quartier se retrouvent ici après l'école, pour jouer sur ces vestiges de l'ère sucrière...

Excellent ! L'impression de m'embarquer dans un sous-marin. 

PRENDRE LE TEMPS...

Se poser et souhaiter une bonne nuit au soleil... ;-)

LES JEUX DU SABLE...

 

QUELQUES PETITS CLOWNS...

... Viennent jouer aux pantins devant nous.

LA PLAGE...

A l'arrivée, l'Océan. Moment de sérennité assuré ! 

PROGRESSION DIFFICILE...

Nous sommes escortés, dès notre arrivée, par des escadrilles de moustiques.

NA !

Des sourires, des grimaces, tout est bon :)

COMBANI EN DELIRE...

Les jeux se poursuivent dans la rue où la petite troupe en folie nous accompagne.

Bientôt, ce sont tous les enfants du quartier qui viennent sautiller autour de nous.

COUCOU CACHE...

CHATS PERCHES !!!

Les enfants m'emportent avec eux dans la cour pour jouer avec "la caméra".

Très rapidement, c'est l'euphorie générale.

CHEZ MOANAECHA...

Ses filles nous accueillent. 

TEINTES DE GRIS...

Ces nouveaux types de matériaux sont plus résistants, apportent un confort relatif (imaginez-vous dans une maison dont le toit est en tôle ondulée avec une température extérieure de 40°C...), mais ils ternissent villes et villages où les nouvelles habitations paraissent très souvent inachevées.

Les plans originels des maisons changeraient-ils en cours de construction, augmentant sensiblement un budget limité à la base et condamnant la dernière étape de finition ? 

Une idée ! Fabriquer des parpaings colorés... ;-)

D'AUTRES BOUTS DU PASSE MAHORAIS...

Mais certains résistent ! Il est vrai que la brique est encore d'actualité.

PETITE COLLECTE TRADITIONNELLE...

L'habitat traditionnel multicolore se dilue peu à peu... Le parpaing, le béton et la tôle ondulée sont devenus les éléments essentiels de la maison mahoraise. Les quelques bangas, cases et autres qui subsistent, semblent pour bon nombre, abandonnés.

ABONDANCE...

De couleurs et d'odeurs. Cela permettra de tenir jusqu'aux beaux jours...

ME LACHE PAS !!!

MAIS...!?

Qu'est-ce qui vous fait rire ?

MRAHA WA TSO...

Ce jeu mahorais est identique au Bao de Zanzibar.

Pour les règles, je vous propose de consulter ce petit guide.

EN PARLANT DES DAMES...

Nous assistons à une partie de dames sur une planche en contreplaqué et des pions fabriqués à partir de bouchons de quelques boissons locales. Recyclage original et économique une fois de plus ! 

LES JEUX...

Les dominos pour commencer. Il semblerait que certains jeux soient exclusivement réservés aux hommes !?

Les femmes auxquelles nous avons demandé n'en connaissent pas les règles.

FAIRE SON MARCHE A MAYOTTE...

En "poussant" plus loin dans les rues de Combani... Des feuilles de classe en guise de cornets à cacahuètes. Vive le recyclage !